R 37 : atterrissage OK

La semaine s'achève comme elle a débuté : avec l'arrivée d'un RUELLAND ; cette fois-ci une superbe (sou)coupe des années 80 - très épurée et impressionnante avec ses 37 cm de diamètre - qui a atterri sans encombre et trône à présent sur la table de mon grand salon (MDR).

Cinq paquets, quatre céramiques : ça va, c'est bien, bonne semaine, mais j'ai fait beaucoup mieux ;-)...

Le 1er jeu concours n'a guère eu de succès pour l'instant, et ça c'est pas bien !

Trop difficile ? Peut-être, mais tentez quand même votre chance, vous pouvez gagner sans avoir tout identifié ! Je vous laisse deux jours de plus et offrirai un second cadeau au vainqueur : un DVD d'Antoine, Tahiti : retour au paradis (en édition collector, s'il vous plaît), l'outil idéal pour préparer vos prochaines vacances ! Un petit extrait pour rêver ? C'est ici :-).

Bon week-end !

Sous le paquet, la plage !

Pas de céramique au courrier ce matin (il y en aura deux demain ;-) mais encore mieux : du tiare (prononcez "tiaré") ! Un bouquet de cent fleurs délicieuses cueillies samedi à Tahiti et expédiées le jour-même, arrivées lundi dans la région nantaise, repostées le lendemain et arrivées ce matin au bureau, après un périple de plus de 18.000 km.

Le tiare, c'est "la" madeleine de Proust parfaite de toute personne qui a eu la chance d'aller un jour en Polynésie. Dès que l'on respire le délicat et puissant parfum de cette petite fleur blanche, tout Tahiti défile en une fraction de seconde : l'extrême gentillesse des tahitiens, le charme des vahinés, le bleu et le vert des paysages, le poisson cru, le sable blanc et doux, les paréos éclatants, le son du ukulélé et les fruits dignes du jardin d'Éden. Bref, une émotion telle qu'il est absolument impossible de ne pas écraser une larme et que je vous souhaite vraiment d'éprouver un jour...

J'ai dégusté ma madeleine tout à l'heure sur la plage en bas de chez moi, "le" lieu qui s'imposait, d'autant plus que le soleil et ses doux rayons étaient encore une fois au rendez-vous. La vie est belle, vraiment !

Merci à La Boutique du Monoï pour son efficacité. J'ai un jour caressé le rêve de faire la même chose que cette petite entreprise en plein boom et suis très heureux qu'elle y soit parvenue, d'où ce petit coup de chapeau.

Dois-je vous préciser que la maison embaume ? Quel dommage que vous ne puissiez respirer les effluves émanant des boutons qui s'ouvrent progressivement !

Faute de grives, voici quelques merles :

- Les RUELLAND adorent !

- Gros plan sur un petit "culbuto" ravi d'accueillir un chargement si exotique...

- Un MADOURA façon tomate-mozza :-).

- A la cuisine aussi, les BLIN sont scotchés et miss COLONIEU se demande si les couleurs du lagon sont aussi belles que les siennes...

- Lorsque l'on me demande ce qu'est la céramique 50, je réponds invariablement : la couleur, la gaieté !

- Cherchez ma chouchoue. "On repart quand ?" m'a-t-elle demandé. Bientôt, petite Lucette, très bientôt...

Bonne soirée !

Noël avant l'heure

Contrairement à ce que l'on pourrait penser de prime abord, ce n'est pas le père Noël qui m'a livré ma céramique du jour, un superbe mazagran n° 2048 de Pol CHAMBOST :-), mais mon meilleur-ami-du-matin : le facteur !

Merci à l'inconnu qui a garé son rutilant Vespa aux couleurs monégasques à côté du bureau et que je n'ai pu m'empêcher d'utiliser, le temps de prendre cette photo de circonstance, alors que j'allais faire un gros plan sur le nouveau en plein air.

Sa couleur est "atomique" et, hélas, impossible à reproduire fidèlement. L'original est un poil plus foncé, à la limite de la fluorescence ! Encore une fois, pour les couleurs portées à leur paroxysme, il y a CHAMBOST et les autres...

Mmm, ça sent la "semaine à un paquet par jour" :-).

PS : en fait, j'en ai reçu cinq. Je n'en conserverai que trois. A bon entendeur, salut !

Assiette polynésienne

Le bleu, le vert : les couleurs de la Polynésie... et celle de cette petite assiette au décor anthropomorphe, recue ce matin :-).

Bon, d'accord, ce n'est pas un PICASSO, mais je la trouve très belle cette céramique, pour ses couleurs lagonesques, bien sûr, mais aussi pour la remarquable épaisseur d'émail qui recouvre son fond, "façon piscine" :

Une émail craquelé et vitrifié, que l'on a carrément envie de toucher pour voir s'il est bien solide et pas liquide, un peu comme du miel...

Qui connaîtrait son papa, un mystérieux "YT" ou "GT" ?

Une piste : d'après son ancien propriétaire, elle provient d'une adresse riche en objets des années 60, dont des céramiques de Vallauris.

A suivre donc !

PS : cette petite céramique sans grade ne m'a pas coûté grand'chose et est la preuve manifeste qu'il est encore possible de se faire plaisir sans trop bourse délier ;-).

PPS : un sympathique lecteur, Jean T., me fait part d'un joli vase haut de 35 cm dont la signature est identique et cette fois-ci incontestablement "YT". Nous avons affaire à un excellent dessinateur ! A suivre...

Raté !

"Il faut absolument que j'arrête d'en acheter". C'est invariablement ce que je me dis à chaque fois que je craque pour un Nième RUELLAND !

Tu parles, il n'y a pas plus addictif que ces petites bêtes. Je dois en avoir plus de 70...

Le petit dernier est arrivé ce matin :-).

Super bien emballé (quadruple cartonnage), qui plus est de façon humoristique !

En effet Franck, la poupée slave est de plus en plus fréquente dans le coin, apâtée par son compatriote nouveau riche, lui-même attiré par le "climat" local. La Principauté façon Grace KELLY + Cary GRANT = wahou !, c'est hélas fini depuis belle lurette...

Reste le vrai climat, idyllique en plein hiver, à tel point que je n'ai pas résisté au plaisir de "mitrailler" aujourd'hui, en repartant travailler après ma pause déjeuner puis en rentrant à la maison en fin d'après-midi :

- L'entrée du port de Cap d'Ail, en bas de chez moi, vers 13 h. Il faisait près de 20 °C !

- Les bananes sont presque mûres ! Non non, la photo n'a pas été prise à Tahiti...

- Le fameux "Rocher de Monaco" et le palais princier.

- Un "grand ours" de François-Xavier LALANNE (daté "1992") à ses pieds. Magnifique, l'oeuvre de cet artiste, ainsi que celui de son épouse, Claude. "Les LALANNE" brillent au firmament des arts décoratifs en ce moment, soutenus par les millionnaires américains qui en sont fous, pour une fois à juste raison...

- Petit RUELLAND s'est fait des ami(es) au bureau.

- Coucher de soleil sur la Tête de Chien, "le" mont de Cap d'Ail. Pas mal, hein ?

- Le port de mon (petit) village.

- On largue les amarres ? Un jour, peut-être...

Revenons à nos moutons et au week-end, relativement tranquille puisque je me suis simplement contenté d'aller faire un petit tour dans la Drôme samedi (huit heures de train quand même), histoire de récupérer quelques bricoles que mon ami Jean-François m'avait mis de côté : un vase "boule" de Paul BADIÉ, un aquamanile zoomorphe (ça fait "bien" ;-) de Jacques POUCHAIN et une belle bouteille de Claudie et Jean RIVIER.

Mon "bélier" (pour aller plus vite) me plaît vraiment beaucoup, d'autant plus que c'est mon premier POUCHAIN digne de ce nom. Bouille sympathique, forme épurée, matière très agréable à l'oeil (terre chamotée émaillée assez sèchement), il a en effet tout pour plaire. Mais qu'est qu'il est lourd (sur la photo il semble petit mais il mesure quand même près de 40 cm de haut sur 35 de diamètre) ! J'en ai bavé à minuit passé...

L'ami Jean-François avait également quelque temps plus tôt une très belle "chouette", qui fait depuis le bonheur d'un autre amateur.

Merci à Pierre, qui via son magnifique "oiseau" pique-fleurs présenté il y a quelques mois m'a conduit à m'intéresser à l'oeuvre zoomorphe de Jacques POUCHAIN.

Une production plutôt limitée, compte tenu du temps qu'il m'aura fallu pour dénicher une pièce valable...

Jeu concours n° 1 (clôture vendredi 29 novembre)

Comme beaucoup d'amateurs d'arts décoratifs, je dévore toute la presse spécialisée : AD, Maison française, Ideat, Art & Décoration, etc., histoire de me délecter de belles choses et m'évader un peu de notre monde de brutes...

La lecture du dernier Elle Déco m'a marqué car il renferme un article où la céramique 50 est très présente. C'est celui consacré à l'appartement new-yorkais de Julie HILLMAN, architecte d'intérieur inconditionnelle du mobilier français du XXe siècle... et de tout ce qui va avec, qu'elle place allègrement dans toutes ses réalisations. Allez donc faire un petit tour sur son site personnel, révélateur de l'intérêt manifeste pour nos beaux objets outre-Atlantique, objets qui s'expatrient hélas de plus en plus, compte tenu du fait que chez nous le bon goût a fondu comme neige au soleil et la pingrerie devenue le sport national, y compris et surtout chez ceux qui auraient les moyens de les acquérir...

Charité bien ordonnée commençant par soit même, miss HILLMAN a judicieusement placé de superbes céramiques 50 dans son somptueux appartement de Park avenue, à Manhattan (ben voyons ;-). Histoire de jouer un peu et de débuter agréablement le week-end, je vous propose d'identifier les céramiques en question.

A vos marques. Prêts ? Partez !

- Cinq pièces dans le bureau-bibliothèque. Je suis sympa, je vous ai agrandi la photo !

- Le salon, avec deux pièces "de ouf". Grrr...

- Gros plan sur celle qui est sur la cheminée. Il me semble qu'un dénommé "TF" l'a eue entre les mains ; il est donc disqualifié. De toute façon il est trop fort...

- Suite du salon, avec une troisième pièce, un peu cachée. Pas de gros plan. Faut pas pousser, ce serait trop facile...

- La cuisine, avec seulement deux pièces, sympas mais pas extraordinaires. Et alors Julie, on se relâche ? Ma cuisine à moi est nettement plus chargée ;-).

- Vous séchez ? Un gros plan et un indice : ça commence par "A" !

- Et enfin une dernière pièce dans la chambre (à côté du cadre photo). J'ai la même :-), na-na-nè-re ! Le pied de lampe n'est pas en céramique : c'est juste un truc en plâtre fait par un certain Diego GIACOMETTI pour Jean-Michel FRANK. Gloups !

Au total : 11 pièces.

Le (la) premier(e) à les identifier ou qui en identifiera le plus grand nombre gagnera, outre ma plus grande considération, le catalogue de l'exposition biotoise "De soleil, d'argile, de feu - 50 ans de céramique".

Amusez-vous bien et bon week-end !

PS : notre "consoeur" a d'autres bien beaux bébés, comme vous pourrez le constater sur le chapitre qu'elle consacre à son fantastique appartement. C'est ici.

Tiens, ça me donne une idée de petite annonce, tout ça : "collectionneur maladif et sa vaste famille très à l'étroit recherche vaste loft moderniste vue mer, éventuellement occupé par charmante demoiselle adorant les arts décoratifs du XXe et idéalement tahitienne". On peut toujours rêver, n'est-ce pas :-) ?

Les DALO à Saint-Germain-des-Prés

Consécration pour les sympathiques DALO, Daniel et Loïc, qui exposent dès demain leurs céramiques dans le Saint des saints du Paris artistique !

Je laisse la parole à leur hôtesse, Sandy TOUPENET (1), qui les présente fort bien :

DAniel Derock et LOïc de Bailliencourt, les DALO, travaillent ensemble depuis 2007 à Paris. Leurs pièces uniques, synthèses contemporaines d'influences esthétiques majeures, sont réalisées à 4 mains. Amateurs de céramiques des années 50 – dominées par la faïence, émaillée, vivante et colorée – mais aussi du courant des années 70 orienté vers le grès – nu, mat et sobre – leurs créations se situent entre les arts décoratifs et la sculpture. Ils revendiquent cette double filiation, d'une part avec l'imagerie de Picasso, Derval, Raty et de leurs amis les frères Cloutier, d'autre part avec les artistes de la Borne dans la variété des textures et des émaux qu'offre le grès.

Vous avez jusqu'au 22 décembre pour aller voir l'exposition et, à la veille de Noël, y trouverez certainement d'excellentes idées cadeaux...

(1) 30 rue de Lille, Paris 7e. Du mardi au samedi, 13 h - 19 h. Tél. 01 42 60 37 18.

Bouteille de Suzanne RAMIÉ

Suzanne RAMIÉ (1905-1974)
Bouteille (circa 1960)
H. 45 cm, Ø 10 cm

Avec un tel corps, superbement fuselé, son joli petit col évasé et son très bel émail vert amande laissant transparaître par endroits un fond rouge brun, cette magnifique bouteille ovoïde a toutes ses chances pour le concours Miss Céramique 2014.

Plus sérieusement, cette "bombe atomique" est pour l'instant et de très loin la plus grande de mon harem (de bouteilles, bien sûr ;-).

Elle est signée de l'habituel cachet "MADOURA plein feu" sous la base.

Inv. PM SR 9

Balade à Biot (II)

L'éclairage aime visiblement le travail d'Heidi WOOD !

C'était samedi 9 novembre, encore une fois en compagnie de mon alter ego, il grande maestro Salvatore PARISI.

Compte rendu un peu tardif, problème informatique oblige...

Au menu : la visite de l'expo "De soleil, d'argile, de feu - 50 ans de céramique", un vernissage au musée Fernand LÉGER (Heidi WOOD - Décor d'une vie ordinaire) et par la même occasion la visite de ce superbe musée.

- Pour le compte rendu de l'expo "De soleil, d'argile, de feu", à l'office du tourisme, ce sera pour plus tard car ce dernier était fermé lors de notre passage. L'office du tourisme fermé le samedi matin : un comble !

- Un VAN LITH vu dans une galerie biotoise. Il faudrait que je me penche un peu sur le travail de ce céramiste biotois et le rencontre un de ces jours...

- Expo fermée ? Plan "B" concocté par Salvatore : un petit tour chez son copain Jacky !

Jacky, c'est Jacky COVILLE. Ancien ingénieur et parisien dans une autre vie et biotois depuis 1975, ce fou de céramique monumentale est installé dans l'ancien atelier du céramiste Roland BRICE (ancien élève et praticien du grand Fernand LÉGER). Une céramique qu'il peut pratiquer goulûment grâce aux dimensions imposantes de son four, très colorée, pleine d'humour, mi cubiste-mi figuration libre et qui vit dans son jardin, un véritable "jardin extraordinaire" :

- Un groupe de "totems". Le plus grand dépasse 2,50 m ! L'artiste adore se mesurer aux pièces de grandes dimensions et avoir le dessus. Un travail titanesque pour lequel il ne compte pas son temps...

- Il ne manque que les bananes !

- Une tulipe dévorant le soleil.

- Une autre attendant sa tige !

- M. et Mme TRICOT-RAYÉ.

- Mais quel est donc ce curieux animal ?

- Une pyramide de formes organiques, sur le toit de l'atelier !

- Un gnome glouton.

- Un autre, plus jovial et très coquet (cf ses jolis ongles).

- Forza les totems !

- Salvatore et Jacky, à qui nous souhaitons beaucoup de courage car il vient de perdre son épouse, Françoise.

- Le roi - que dis-je ?, l'empereur ! - de la céramique 50, sur le fameux "Trône" de l'artiste, à ma connaissance le seul fauteuil 100 % céramique (1).

- Mon seul COVILLE, étonnamment reçu ce matin :-) : un grand récipient (35 cm de haut), mi vase mi pique fleurs. J'aime beaucoup son émaillage, façon pierres précieuses enchassées. Très probablement une oeuvre de jeunesse (il faudra que je pense à lui demander). L'artiste a commencé à faire de la céramique vers 1964...

- Une mosaïque de Heidi et Lino MELANO, vue sur un mur proche de la maison de Jacky COVILLE. Le couple sera chargé des 400 mètres carrés (!) de mosaïque habillant le musée LÉGER...

Pas de véritable coup de coeur pour le travail d'Heidi WOOD, dont le travail est en ce moment présenté au petit musée d'histoire et de céramique biotoise (première photo) et dans l'imposant musée Fernand LÉGER, sur lequel j'ai préféré me polariser :

- Un musée vraiment haut en couleurs ! Celles de LÉGER bien sûr : le jaune, le bleu, le vert, le rouge et le noir.

- A l'entrée, une superbe mosaïque de 2 m x 8 m exécutée par Heidi MELANO en 1976, d'après une maquette de LÉGER pour l'université de Caracas (1951)

- Une façade impressionnante. Toujours en mosaïque ! Un travail de romain ! Admirez également le bleu du ciel, garanti non photoshopé ;-).

- L'arrière du musée, avec une autre oeuvre de LÉGER, reproduite en mosaïque par la courageuse Heidi. Gigantesque...

- Un musée où vous pourrez voir des céramiques (ici La fleur qui marche, circa 1952, réalisée avec le concours de Roland BRICE), des tableaux des différentes périodes de l'artiste, une giganteste tapisserie, un somptueux vitrail et ressortir incollable sur l'oeuvre de Fernand LÉGER.

Morceaux choisis :

- Nature morte au compotier, huile sur toile (1924).

-  Femme au bouquet, huile sur toile (1924). Mon LÉGER préféré, qui plus est superbement encadré. Le fantasme de bien des amateurs d'Art déco...

- Les quatre cyclistes, huile sur toile (1943-48).

- Les constructeurs, huile sur toile (1950).

- Le gigantesque vitrail du musée.

- Les baigneuses, immense tapisserie tissée en 1962 par l'atelier PINTON Frères à Aubusson, d'après une gouache de l'artiste.

Après-midi niçoise. Au menu : chine en galerie et visite d'un appartement. Dans les deux cas, chou blanc ! Pour l'appart, ce n'est pas étonnant : passer de la vue et du son "mer" à la vue sur le voisin d'en face m'est encore (?) totalement impossible, même si j'en suis réduit à dormir dans ma cuisine à cause de ces satanés vases, bouteilles etc.

Fins d'après-midi antiboise, histoire de récupérer un impressionnant (42 cm) vase cheminée n° 2047 de Pol CHAMBOST et un joli petit pichet du couple ANASSE.

Antibes est toujours aussi belle, notamment à la nuit tombée. Ici le chateau GRIMALDI, siège du musée PICASSO.

L'église de l'Immaculée-Conception, juste à côté...

... et son impressionnant clocher.

Et bien sûr les ruelles de la vieille ville...

Je n'en avais pas fini avec Fernand LÉGER car le lendemain matin, en allant chercher ma table de Jacques LIGNIER au bureau, j'ai par pur hasard fait un stop à quelques mètres d'une mosaïque de l'artiste, qui plus est parfaitement assortie à ma table :

Étonnant hasard ! Les trois musiciens (1944) se trouve dans le quartier de Fontvieille, à Monaco, juste au dessus de Carrefour. Une oeuvre non signée et très probablement due au talent d'Heidi MELANO.

Fin de week-end on ne peut plus paisible, sur mon très confortable CHAPO.

(1) Raté ! L'objet n'est pas unique. Il existe au moins deux autres fauteuils de ce type, certes moins baroques :

- Celui de Nicole GIROUD (reproduit dans la Revue de la céramique et du verre n° 3, février 1982).

- Le trône de Christine FABRE (photographié dans la Revue de la céramique et du verre n° 39, mars 1987).

La ravissante reine Christine sur son trône. Un siège qui lui sied à merveille ;-).

Merci à Yvon LE DOUGET pour l'info !