lundi 4 août 2014

Retour au Paradis

C'est qui la plus belle ?

Bora Bora, dimanche 3 août, vers 18 h (lundi 4 août, vers 6 h, en France)

Ouf ! Nous sommes enfin arrivés chez nos amis Vaite et Alain, à Bora. C'était hier soir, en fin d'après-midi, après une première journée à Papeete, sur l'île de Tahiti.

Et c'est parti pour les photos et probablement le billet qui en comportera le plus :


- Vendredi 1er. Escale à Marseille pour une livraison de chouettes. Ici en haut des escaliers de la gare Saint-Charles.


- Pascal adore les formes organiques :-). Photo de Lucien CLERGUE.


- Aéroport de Roissy, en fin d'après-midi. Le Rangiroa ("Ciel immense" en tahitien), notre bel avion aux couleurs d'Air Tahiti Nui.


- Vincente et Georges, le couple d'ami accompagnant Pascal. Opération "passage de bas de contention" :-).


- La plus belle jouant les vahine, quelques minutes avant de décoller. Je faisais moins la fière une demi-heure avant car mon sac a bulles de voyage "blindé" a fortement intrigué le douanier passant aux rayons X le sac à dos de Pascal. Il a du quitter la file et suivre une inspectrice qui m'a trouvée très jolie à l'ouverture :-).


- Et c'est parti pour 12 h de vol jusqu'à Los Angeles !


- Escale de 2 h à LA. Les contrôles américains. Quelle galère...


- On change d'équipage et c'est reparti pour 8 h de vol jusqu'à Papeete où nous arriverons samedi 2 août à 4 h 30 du matin.


- Dormir, lire ou regarder un bon film ?  "Belle et Sébastien" de Nicolas VANIER fut un excellent choix car cette reprise de la célèbre série de la regrettée Cécile AUBRY est particulièrement réussie et très émouvante. Préparez vos mouchoirs...


- Premiers pas à Tahiti, à la sortie de l'aéroport de Faaa (eh oui, il y a bien trois "a").


- Première vahine croisée. Pas mal du tout mais... murale !


- Le marché de Papeete vers 7 h. Un incontournable en arrivant à Tahiti.


 - Fruits et légumes tropicaux, poissons, viandes et délicieux plats cuisinés...


- Ah les bananes tahitiennes !


- Du poisson en veux-tu en voilà...


- Trois superbes "perroquets".


- On attend le client...


- Premiers firi firi, délicieux beignets tahitiens.


- Premier jus de fruits frais. Orange, mangue et banane.


- 11 h au "Retro", première Hinano, avec une pensée pour le chanteur Joe DASSIN, qui y perdit la vie le 20 août 1980...


- Voilier sur le port de Papeete. En arrière-plan, l'île de Moorea.


- Midi pile, l'heure du premier poisson cru au lait le coco. Ce véritable plat national (on le consomme même au petit déjeuner) est un pur régal...

Recette du poisson cru à la tahitienne (copié collé d'un ancien billet ; entre Noël et le Jour de l'An 2013 sur l'île de Huahine) :

La spécialité locale, c'est le "poisson cru" (à la tahitienne), un poisson qui n'est pas vraiment cru, je vous rassure si vous n'êtes pas fan de cru, puisqu'il est en fait "cuit" par l'acidité du jus de citron, l'un des ingrédients principaux du plat.

Ce fut le plat principal de notre séjour à Huahine et en voici la recette, très facile et tout à fait réalisable en métropole (surtout dans le sud :-).

Ingrédients : du poisson très frais (du thon rouge ou, à défaut, de la bonite, plus facile à trouver chez nous), de petits citrons verts (idéalement des Marquises, mais de simples citrons verts feront l'affaire à la maison), du lait de coco frais (en brique en métropole), des légumes coupés en lamelles (tomates et carottes crues ainsi que beaucoup d'oignons), du sel et du poivre.


Pour obtenir du lait de coco, il faut tout d'abord extraire les noix de leur coque fibreuse en les décortiquant via un pieu (pas facile du tout :-) et les casser en deux. Pensez à récupérer l'eau de coco, très riche en éléments nutritifs et bien rafraîchissante.


Il faut ensuite râper la chair, à la mode tahitienne, c'est à dire... assis sur une râpe, au-dessus d'un récipient !


Et ensuite la presser dans un linge propre. Réserver ensuite le liquide crémeux obtenu au frais. Le volume exprimé par si peu de chair est vraiment incroyable ! Ne jetez pas cette dernière une fois pressée, les poules en raffolent et à Tahiti les poules sont nos meilleures amies car elles font la chasse aux cent pieds, mille-pattes locaux dont la morsure est très douloureuse. Ils sont heureusement rares.


Couper ensuite le poisson en gros dés et le mettre dans un grand saladier.


Couper ensuite les citrons. Quel parfum !


Et les presser sur le poisson. Il doit y avoir suffisamment de jus pour bien "mouiller" le poisson. Laisser agir quelques minutes (le poisson doit blanchir un peu, signe que ses protéines "cuisent") puis jeter l'excédent de jus.


Ajouter les légumes puis saler, poivrer et mélanger.


- Enfin ajouter le lait de coco filtré, qui doit bien baigner l'ensemble, et mélanger une dernière fois.


Dégustez le plat avec un peu de riz et un bon rosé, vous m'en direz des nouvelles !

A noter : cette salade, car c'en est une, se conserve très bien au frigo et est encore meilleure le lendemain. Miam ;-). Une excellente idée pour l'été, à condition de dénicher du thon rouge frais...



- 17 h 30, arrivée à Bora en ATR.


- L'aéroport étant sur un motu (îlôt sur la barrière de corail), une navette permet de rejoindre l'île.


- Une île sous les nuages :-(.


- Remboursez :-) !


- Dimanche matin, chez Vaite et Alain, après une bonne nuit de sommeil. Il pleut bergère...


- Un temps à ne pas mettre un chat tahitien dehors.


- Heureusement qu'on a des ordis pour s'occuper !


- Vers 11 h, le temps s'améliore. Le "chabat" (terme que seuls certains proches de Pascal comprendront ;-) est bientôt terminé.


- 15 h, plage de Matira : ça va mieux :-).


- Retour au Paradis ? Oui !
 
Bora Bora, lundi 4 août, vers 22 h (mardi 4 août, vers 10 h, en France)

Bien remis du décalage horaire, nous avons passé la matiné dans un véritable jardin d'Eden, fait ensuite un peu de shopping à Vaitape, la "capitale", puis lézardé tout l'après-midi à Matira, "la" plage de l'île.


- Papayer.


- Pamplemoussier.


- Chez Germaine, soeur ainée de Vaite à la main verte, sous un ylang-ylang embaumant.


- La petite église de Vaitape, au pied du mont Otemanu.


- Tiens donc, une céramique "locale" ! Made in China :-(.


- Le pareo : incontournable. Ici une pièce unique vue à la galerie Alain et Linda.


- Matira, vers 13 h. Air à 27 °C, eau à 26 °C, une dizaine de touristes : parfait !


- Matira, vers 15 h. Heureusement que le ciel s'est un peu couvert sinon c'était coup de soleil assuré !


- Matira, 17 h. Il est temps de rentrer...


- Au menu du dîner : un copieux et délicieux chao men, plat typique de Tahiti à base de nouilles chinoises sautées avec des légumes, du poulet et des crevettes.

Bora Bora, mardi 5 août, vers 22 h (mercredi 5 août, vers 10 h, en France)

Journée plage bien tranquille à Matira, sous un ciel plutôt couvert. Heureusement, sinon il serait impossible de tenir plus de 5 minutes sur le sable, même enduit d'indice 50 !


- En chemin, arrêt au Bloody Mary's, probablement le meilleur restau de Bora, prisé des célébrités en vacances, qui viennent y déguster un vaste choix de poisson.


- Belle vue sur les monts Otemanu et Pahia depuis le ponton du Bloody Mary's.


- Menu du déjeuner : régime ! C'est le cas de le dire :-).


- Sieste sous l'impressionnant fare potee de Matira.


- Une construction bien utile quand le temps se gâte...


- La pluie : le tiare, arbuste emblématique de Tahiti, adore ça. Espérons qu'elle ne s'installe pas trop car demain nous prévoyons d'aller passer la journée sur un motu !

Bora Bora, mercredi 6 août, vers 20 h (jeudi 6 août, vers 8 h, en France)

Comme prévu, journée sur un motu (îlot situé sur la barrière de corail), celui d'Albert et Tahia, deux retraités du genre gai luron. Le beau temps n'a pas été au rendez-vous mais le dépaysement, la bonne humeur et le repos le furent assurément !


- Ciel plombé : Bora a disparu sous les nuages. Il fait 26 °C dans l'air, 29 dans l'eau et l'on y est très bien...


- Le fare potee (maison faisant office de cuisine/ salle à manger) d'Albert et Tahia, sur la plage.


- Membres de la SPA locale, le couple a 17 chiens, tous cajolés et bien nourris, ce qui n'est hélas pas le cas de tous les nombreux chiens de l'île, loin de là...


- Trop mignon celui-ci !


- Georges en touriste.


- Tournage de la prochaine campagne Tahiti Douche :-).


- Que d'eau, que d'eau...


- Alain préparant le repas de midi : un bon poisson cru.


- Un peu de riz en complément et dégustez. Un régal !


- Et en dessert : un plat de papayes cueillies le matin même et mûres à point.


- A la bonne franquette...


- Noyée :-).


- Petite visite à Bébert, le cochon de compagnie d'Albert, 5 ans et près de 350 kg...


- Éclaircie en fin d'après-midi. Elle ne durera pas. Ce n'est pas grave car Bora vue sous une lumière digne de la mer du Nord ce n'est pas commun et on s'en souviendra !

Retour sur l'île sous des trombes d'eau. La météo annonce du beau temps pour demain, que nous passerons si tout va bien au Pearl Beach, l'un des plus beaux hôtels de Bora.

Bora Bora, jeudi 7 août, vers 21 h (vendredi 8 août, vers 9 h, en France)


Il est bien sympa Pascal mais la Polynésie façon camping "Les flots bleus", comme hier, très peu pour moi ! J'ai bien plus apprécié cette journée au Pearl Beach Resort *****, d'autant plus que le beau temps était enfin au rendez-vous et que j'ai donc pu quitter mon sac à bulles de voyage.

Enfin un endroit digne d'une céramique 50 star !


- Chez Vaite et Alain ce matin vers 8 h. Le mauvais temps s'est évaporé durant la nuit.


- La maison est située dans un océan de verdure, tout près du lagon.


- Le Pearl Beach étant situé sur un motu, il faut utiliser la navette de l'hôtel pour y accéder, au bout d'un joli ponton. Au loin, le motu et ses bungalows sur pilotis.


- Le superbe ponton de l'hotel. Bora est en arrière plan.


- On y est.


- La réception, superbe cathédrale façon lodge.


- La plage et les fameux bungalows sur pilotis.


- Personnellement, je préfère ceux situés sur la plage ou côté jardin, plus espacés et donc moins cages à poules...


- Retour sur la plage.


- Un endroit vraiment paradisiaque, loin de l'agitation (façon de parler :-) de l'île.


- Au bout de la plage, le cocotier des honeymooners :-).


- Ah, on est bien, comme dirait l'autre...


- Les cocotiers grimpent jusqu'au ciel.


- Georges a sorti son carnet de croquis...


- Vaite, alias Mammarazie (son appareil photo ne la quitte jamais), victime d'un papparazi.


- Un petit tour en pirogue à balancier...


- La piscine d'eau douce, superbe.


- Un endroit de rêve, autour duquel on peut se restaurer (salade polynésienne et coupe Bora Bora) puis lézarder au bord de la somptueuse piscine...


- Entourée de superbes bougainvillées...


- Avec "vue mer" !


- Ici, pas de cochon Bébert collant...


- Que du beau monde ! Beaucoup d'italiens en lune de miel. Des gens qui savent vivre...


- C'est qui la plus belle (bis) ?


- Côté jardin, on n'est pas mal non plus !


- Une superbe rangée de pandanus, dont les feuilles servent à faire les toits des fares (bungalows), tout confort, avec salle de bains extérieure.


- A  la fin de la journée, chez Vaite. J'en ai pris tellement dans les yeux que  j'ai eu besoin d'un bon masque au tiare. Non, je ne suis pas un pique-fleurs !


- Lucette version "chouette de chevet".

***

Mercredi 3 septembre 2014

Je reprends le fil de ce billet interrompu pour cause de problèmes de connection, problèmes que Pascal n'a surtout pas cherché à solutionner. Eh oui, il était en vacances et au bout du compte "tout débrancher" a été une très bonne chose !

Le décalage horaire est bien digéré (on commence à avoir l'habitude ;-), seule subsiste une vague tristesse quand on repense à ce petit coin paradisiaque du Pacifique sur lequel on a eu la chance de passer quelques semaines. Les "ia orana" (bonjour) joyeux des tahitiens croisés (quelle différence avec chez nous...) et la magnificence de la nature nous manquent, sentiment exacerbé par l'agressivité et la bêtise bien trop répandues chez nous et hélas trop vite retrouvés. Du coup, Pascal s'est réfugié dans son "musée", a mis la radio sur Tiare FM (il n'a plus de TV depuis belle lurette) et n'en sort que pour fréquenter quelques amis artistes ou collectionneurs. Et puis heureusement qu'on vit sur la Côte d'Azur et qu'il y fait encore un temps estival car si on s'était retrouvé dans le stress et la grisaille d'une grande ville c'était déprime assurée ! On continue donc à vivre comme à Tahiti, en tongs et bermuda et en allant à la plage à l'heure du déjeuner. Pourvu que ça dure...


Au bureau, je profite des quelques fleurs de tiare ramenées.


Le frangipanier de Pascal a fleuri durant notre absence et il reste quelques fleurs et boutons. Chouette !!!


La dernière papaye ramenée, dégustée ce matin. Sniff...


Lever de soleil ce matin, devant la maison. Ce n'est pas celui de Moorea mais bon...


La nouvelle saison commence bien car le facteur est arrivé ce matin avec cette superbe grande coupe signée "ANASSE" (33 cm de diamètre). Bienvenue à la maison, "cousine" !

Il s'agit là d'une oeuvre "à six mains", tournée par Sylvestre ANASSE à l'atelier familial des Issarts, émaillée par sa mère, Nicole, et enfin décorée par son père, Michel. Elle a été cuite au four à gaz et date de la fin des années 70 (merci à Sylvestre pour ces infos ;-).

Bon, stop, retour dans le Pacifique pour la suite de nos aventures :

Bora Bora, vendredi 8 août

Dernière journée à Bora, passée à Matira, avec un temps magnifique :


- Lever de soleil vu depuis la maison de Vaite. Au fond, les motu plantés de cocotiers.


- Idem.


- Idem.


- Grand beau temps chez Vaite. Le "chabat" est fini !


- Matira. Le grand fare, idéal pour s'abriter du soleil. Attention : en Polynésie, c'est pas un rigolo le soleil. Indice 30 mi-ni-mum pour une peau déjà halée !


- Matira. Vers 9 h. Pas un chat, ou presque.


- Matira. Un peu d'ombre...


- Matira. Lagon cristallin.


- Matira. Georges en plein travail.


- Matira. Cocotier et ciel bleu.


- Matira. Un corossol (fruit exotique) échoué sur la plage. Aussitôt dégusté !


- Matira. Bord de lagon paradisiaque. 10 h et toujours personne :-).


- Matira. Les cocotiers se mirent dans le lagon.


- Matira. Du côté de la pension "chez Nono" (le bienheureux).


- Maira. Cocotiers géants.


- Matira. Je bronze !


- Matira. Subjuguée par un beau tahitien sortant de l'eau. Non, ce n'est pas Pascal :-).


- Matira. Bord de lagon "de rêve", camaïeu de bleu et de vert.


- Matira. Vers 11 h. Il commence à y avoir un peu de monde...


- Matira. "Le bateau jaune".


- Matira. Avec Georges et Vincente au "Snack Matira". Une excellente adresse !


- Au menu ? Poisson cru :-).


- Matira. Chien rassasié.


- Matira. Chien affamé. Le pauvre présentait une malformation à une patte. Il a eu droit à une bonne ration de poisson cru.


- Matira. Djamel (c'était son nom :-) nous quittant, bien rassasié...


- Matira. Une construction "en dur" sur la plage, à moins d'un mètre de l'eau. Au fou !!!


- Matira. Comment peut-on tolérer pareille aberration sur une aussi belle plage ?

Nous quitterons Bora pour Papeete en fin d'après-midi, après être bien sûr repassés chez Vaite. Demain matin, direction les Marquises !


- Vaitape, village principal de l'île, au pied du mont Otemanu.


- Vaite (allias Mammarazzie) venue nous accompagner et nous dire au revoir.


- Notre navette pour rejoindre l'aéroport de Bora, situé sur un motu.


- Nous quittons Bora sous un bien meilleur jour qu'en y arrivant !


- Ciao Bora !


- Le petit îlot artificiel de l'aéroport.


- Bora vue du motu de l'aéroport.


- A gauche, la navette motu-île.


- A l'aéroport, les guichets d'accueil des grand hôtels (Pearl beach, Intercontinental, Méridien, etc.).


- En transit sur l'île voisine de Raiatea. Bora y est nettement visible.


- On survole la belle Huahine, île chère au coeur de Pascal mais qui ne figurera hélas pas au programme du périple de cette année.


- Arrivée à Faaa, l'aéroport de Tahiti. Non, l'Airbus c'est pas encore pour maintenant !


- A l'hôtel Tiare, à Papeete, embaumant l'ylang-ylang.


- On y a récupéré nos billets pour les Marquises. Départ le lendemain vers 10 h.


- Distributeur de billets "local".


- Dîner aux célèbres "roulottes" de la place Vaiete.


- Un endroit incontournable pour se restaurer à Papeete !

Papeete, samedi 9 août

Jour "J" : nous partons enfin pour les Marquises, sur le fameux Ara Nui III, un cargo mixte, bateau qui transporte à la fois des marchandises et des touristes (il n'y en aurait qu'une douzaine dans le monde).

L'Ara Nui est le meilleur moyen de découvrir l'archipel des Marquises. Ce bateau mythique permet en effet d’approcher toutes les îles des Marquises par la mer, dans une véritable ambiance polynésienne. D’une baie à l’autre, les matelots chargent le coprah et déchargent tous les produits nécessaires aux habitants, qui attendent avec impatience l’arrivée du célèbre cargo des Mers du Sud. Pendant ce temps, à chaque escale, les visiteurs sont guidés à la découverte des trésors naturels et culturels de chaque île, où ils sont accueillis chaleureusement par les Marquisiens.

Isolé géographiquement, avec de hauts et rudes reliefs tourmentés, l’archipel est le plus éloigné de tout continent. Il est situé à 1.500 km au nord-est de Tahiti et s’étend sur 12 îles dont 6 sont habitées, que nous visiterons : Nuku Hiva, Ua Pou, Hiva Hoa, Fatu Hiva, Tahuata et enfin Ua Huka.


- 10 h, nous sommes à bord. Ici à l'arrière, admirant la belle Moorea, juste en face de l'ïle de Tahiti.


- Le comité d'accueil marquisien : chants et danses de bienvenue ! Les touristes sont aux anges.


- Une population plutôt âgée et pas très piscine, pour le plus grand bonheur de Pascal et ses nouveaux amis (Hervé, Céline, Gilou, Martine...).


- On "décolle". Au revoir Moorea !


- Tahiti sous les nuages...


- Le traditionnel exercice de sauvetage.


- Repos sur le pont. Tahiti s'éloigne...


- Les deux impressionnantes grues, indispensables au chargement et déchargement du navire.


- Premier repas à bord. Les desserts seront tous à tomber...


- Tout comme la nuit, vers 18 h...


- Les belles couleurs des Mers du Sud au coucher du soleil.


- Pascal a rejoint son lit, dans le dortoir, la classe "C", la plus économique mais surtout la plus fun. Deux cabines de 8 lits, une pour les filles (elles seront trois) et une pour les garçons (trois également :-).

Le bateau vogue vers l'atoll de Takapoto.

Takapoto, dimanche 10 août

Première escale.

Takapoto est un petit atoll (île basse, très ancienne, limitée à un anneau de corail encerclant un lagon) des Tuamotu, vase archipel polynésien que nous traverserons pour nous rendre aux Marquises.


- Pour descendre à terre, vers 10 h, nous utiliserons les fameuses barges de l'Ara Nui, descendues à l'aide des grues.


- Avec l'aide des fameux marins de l'Ara Nui, costauds et très sympas.


- Et c'est parti ! Au premier plan, Hervé, militaire à Papeete, avec qui Pascal a passé la plupart du temps.


- L'Ara Nui s'éloigne.


- Les touristes sur le quai de fortune.


- Un atoll perdu mais relié au monde...


- Chien de Takapoto. GAUGUIN n'a rien inventé !


- La belle petite église de Takapoto. C'était dimanche et jour de messe. Les merveilleux chants polyphoniques résonnent encore dans nos oreilles...


- Nous, on va à la plage. Et pour ça, faut marcher un peu. Ici Céline, institutrice détachée au Koweit, avec qui Pascal a sympathisé. Nous sommes arrivés côté océan et la plage est côté lagon...


- Enfin arrivés. L'équipe de l'Ara Nui est en train de préparer un barbecue pour le déjeuner.


- Le coin est très sympa, avec une belle plage. Temps un peu couvert.


- Un petit bungalow typique.


- En Polynésie, le mauvais temps ne dure pas :-).


- La preuve !


- Peaux blanches, toutes aux abris !


- Le déjeuner dominical est gargantuesque : poisson cru, salades, grillades, poisson à volonté.


- Il y a toujours du rabe lors des repas polynésiens !


- Après la sieste il fait toujours aussi beau.


- Nous étions dans une vraie carte postale !


- Sable blanc, cocotiers, eau à 28 °C. Bref, le paradis.


- Hélas, tout à une fin. La dernière barge repart à 17 h 30 et nous sommes les derniers.


- Une superbe arbre à pain, dont le fruit (le "uru" en tahitien) est un incontournable de la cuisine locale. C'est un féculent un peu fade, qui gagne a être accommodé.


- Au loin, l'Ara Nui.


- Le quai de Takapoto, côté océan donc.


- Nous attendons la dernière barge.


- Au revoir les enfants !


- Retour au dortoir. Ma cabine sera ce modeste placard.


- Le soir au dîner, deux grand peintres : Georges BRIATA et Jacques BOULLAIRE, représenté par la reproduction de l'un de ses plus célèbres pastels.


- Une décoration de table 100 % naturelle !


- Après le dîner, direction le bar de Yoyo, investi par l'Ara Nui Band.


- Cocktail 100 % jus d'ananas.


- L'arrière du bateau, joliment éclairé, propice à la rêverie devant le ciel étoilé...

Nous nous coucherons tard, d'autant plus lundi sera une journée en mer et que nous n'arriverons aux Marquises que le surlendemain.

A suivre...

4 commentaires:

  1. Ceci me rappelle Amélie Poulain

    RépondreSupprimer
  2. Salut Pascal, je suis contente de revoir la coupe Anasse enfin chez elle, et d'en savoir un peu plus sur son histoire. Eve

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonsoir Eve ! Ta coupe a trouvé sa place à l'entrée de céramicland et c'est l'une de mes pièces préférés. Encore merci :-).

      Supprimer