Un monde fou pour la première des RUELLAND ! |
Mes pauvres petits pieds se souviendront longtemps de ce premier rendez-vous parisien de la saison. J'ai en effet dû "m'habiller" un peu, vernissage oblige, et donc troqué mes tongs polynésiennes contre des chaussures de ville. Résultat : des ampoules de 100 W ; le prix à payer pour un mois de liberté au bout du monde...
Le vernissage en question était celui de l'exposition consacrée au travail des RUELLAND à la galerie Thomas FRITSCH, rue de Seine, samedi dernier. Une expo à voir absolument compte tenu de la qualité des pièces réunies. En ce qui me concerne, j'ai été plus sensible aux céramiques de la "seconde période" (années 70/90) du couple, plutôt méconnue, qu'à celles de leur "première période" (années 50/70), dont les couleurs aimantent nombre d'amateurs, sans vraies surprises pour moi.
Au fond de la galerie, les pièces des années 50/70, regroupées par couleurs.
Au second plan, à gauche, Jean-Jacques WATTEL, co-auteur avec son épouse Bénédicte de l'ouvrage "Les RUELLAND, céramistes", paru à l'occasion de l'exposition. Derrière lui, Bénédicte en grande discussion avec Thomas LEPORRIER, expert de l'oeuvre du céramiste André Aleth MASSON.
Jaune anis et bleu canard : des couleurs typiques de la "première période" (cliché Arnaud RICHARD).
Cette superbe "cloche" verte est assurément l'une des plus belles pièces de l'expo, par son originalité et sa rareté. Au premier plan, un vase "Houle", très peu commun et petite merveille d'équilibre (cliché AR).
Quelques céramiques des années 70/90, à l'entrée de la galerie, dont deux splendides et énormes vases "boules" (cliché AR).
Un impressionnant groupe de cinq superbes "formes dressées" (circa 1985) accueille le visiteur (cliché AR).
L'auteur de ces lignes et son collègue Javier, "ruellandophile" espagnol. Eh oui, le marché des RUELLAND est international... (cliché AR).
Javier en pleine négociation (?) avec le maître de lieux, Thomas FRITSCH (cliché AR).
L'expo a été superbement photographiée par Hervé LEWANDOWSKI, photographe attitré de la galerie Artrium. C'est ICI et c'est un véritable régal pour les yeux !
Un fort sympathique et excellent dîner a clôturé le vernissage, réunissant de nombreux clients et amis de la galerie.
Le lendemain, tenue décontractée et chaussures ouvertes (ouf :-) pour la traditionnelle balade aux Puces de Saint-Ouen, dont je ne retiendrai qu'un seul objet : cette superbe et très rare table basse de Mado JOLAIN, vue à la galerie Maxime HARDY. Je serais bien reparti avec si j'en avais eu les moyens...
Côté emplettes : une superbe grande chouette en grès d'Annie MAUME, deux petites céramiques de Robert HÉRAUD (un vase et une boîte), une petite coupe d'Yves MOHY, un pichet de Jean LINARD (ma première céramique de cet artiste), un vase "escargot" de F. et A. STOCKER et enfin un très joli petit vase à panse aplatie de mon atelier favori : celui de Michel et Nicole ANASSE, tous réunis sur ce cliché du non moins traditionnel "déballage du dimanche soir".
moi, ce que j aime , c est la couleur du visage de Pascal deuxieme période ( après un mois dans les iles ! )
RépondreSupprimerEt encore : dans les îles, c'était une vraie terre cuite ! Moi, je suis émaillée et donc rentrée tout aussi blanche qu'au départ :-(. Lulu
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